samedi 4 août 2012

Voilà

Je m'en vais. Salut.

4 commentaires:

  1. "S'en tamponner le coquillard
    Aujourd'hui, je me sens l'âme d'une excavatrice géante.
    Tout va bien, mon environnement direct est exceptionnellement calme et mon corps pue la sérénité. Aucun grain de sable sensoriel dont je ne puisse faire abstraction. Sentiment simple et délectable d'être une puissance au repos.
    Demain matin, je m'agiterai, mais tout cela n'est qu'un jeu déjà gagné, une quête onaniste du bonus de mieux-vivre-mieux-égoter. Oh que c'est bien, que c'est bien. Sens-toi comme ça, Bernie, c'est délicieux, une sorte de flemme savante qui ne disserte pas, une flemme lucide qui pour une fois n'analyse pas les tréfonds du nombril de son nombril pour savoir si elle est bien consciente d'elle-même.
    Cherche belle formule pour clore."

    A ce moment là tu étais potable. C'est tout.

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  2. Le texte suscité (-) ne vient pas de mes doigts propres mais de ceux d'un estimé confrère qui effectivement, dans ses rares verbalismes, m'a paru plus potable que moi.

    Dans la violence stérile qui sourd de vos message, je ne distingue ni tenants ni aboutissants (non non non, vous ne me ferez pas croire, sacré filou, que la saine critique est votre idéal !). J'aimerais tant que vous ayez un nom, je comprendrais peut-être ce qui vous rend si acide !

    Au plaisir de vous lire.

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