… que je ne m'étais pas senti honteux de manière purement basique. Il faut y remédier (comme dirait Matthieu).
You get the point, now : il s'agit de trouver d'immondes turpitudes desquelles on puisse rougir sans complexe.
Triple honte déjà : j'utilise un cliché, je mets de l'anglais, et je fais un article symptomatique d'une flemmardite aigue.
Sans oublier un quatrième bonus : une faute de français (si, je persiste et signe : faute de français ; que l'Académie aille se faire cinématographe).
ET
Un conservatisme fanatique.
Une mise en page ridicule.
Une qualité littéraire plus bas que terre (autre cliché, et paf !).
Une autocritique exagérée jusqu'à l'indécence.
J'y trouve un goût d'pomme.
Une mise en page ridicule ET inutile.
Ta mère est oh! exploitable.
Un appEl Au lAngAgE kik00 (<3 y0u fRiEndS).
Une référence bête et méchante dans le plus pur style geek pré-pubère.
L'utilisation du terme « pré-pubère ».
Une mise en page qui commence sérieusement à casser les burnes.
Du sexisme.
Un castor.
Une référence à Matthieu capillotractée.
Une suite incontrôlée d'éléments plus ou moins pertinents dont l'apparition n'est motivée que par la présence de l'élément précédent qui lui offre une brèche dans laquelle il s'engouffre. Par exemple :
Une tendance maladive à la méta-articlation tout à fait hors de propos bien qu'il n'y en ait pas, de propos. Par exemple :
Une grande puérilité dans le traitement de ce sujet qui n'en est toujours pas un.
Ou encore :
Une absence de crescendo.
Des raisons parfois douteusement compréhensibles (mais cohérentes, toujours).
Une chanson avec un lecteur flashy :
Michel Drücker.
Vous avez beau dire, ya pas seulement que d'la pomme. Ya aut' chose.
Une mauvaise utilisation des italiques.
Capillotracter devrait exister.
Un autre tréma clandestin.
Une honte cachée (connaisseurs d'Ouverture Facile : pour vous c'est facile, presque).
Un immonde sectarisme ouverturefacilien.
Marx.
Oh, il n'y a plus "Du pain et des oeufs." Je voulais le relire.
RépondreSupprimerTu maltraites tes lecteurs.
Il est toujours sur le net, mais plus ici. C'était trop sale.
RépondreSupprimerOu trop propre.
RépondreSupprimero tempora ! o mores !
RépondreSupprimerÀ qui le dis-tu…
RépondreSupprimerMouais ...
RépondreSupprimerOù comment lutter contre le syndrome de la page blanche (enfin, noire avec cette nouvelle mise en page (qui n'est pas forcément meilleure que l'ancienne d'ailleur (oui, le blanc sur noir, ça fatigue un peu l'oeil, même si l'esthétisme n'est pas moche, en soi (et encore ...)))).
Il est vrai que ça ressemble fort à une lutte stérile contre la page blanche (disons encore plus stérile que d'habitude). C'est le genre d'écueils que j'essaie d'éviter en ce moment.
RépondreSupprimerQuand au thème, j'y réfléchis, et je note tout commentaire à ce propos.
En tout cas merci, c'est cool les retours.