dimanche 25 avril 2010

L'art de l'inutile

« C'était un virtuose de l'inutile, un maître du superflu. Sans lui nous ne serions que des hommes. » Confucius


L'art de l'inutile, première.

Si vous avez suivi consciencieusement les cours précédents (et vous l'avez fait) (si, vraiment, j'insiste), vous avez appris une chose : l'inutile est indispensable, car inutile. Logique. Je vous propose de poursuivre la démonstration ensemble (en chœur et en cadence), avec une expérimentation pratique qui nous plongera au cœur (sans hache, celui-ci : il faut de tout pour faire un bûcheron) de l'inutile lui-même. On pourrait appeler ça un voyage initiatique s'il y avait moins de « i » dans « initiatique », car je suis aujourd'hui fondateur d'une société antii. Demain, ça ira mieux. D'autre part, j'arrête sur le champ (des partisans) les blagues lettrophiles, afin d'éviter qu'elles ne se propagent trop rapidement. Ceci étant dit, vous pouvez cliquer sur le lien précédent dès maintenant, sans risque de perdre le fil de l'article, car ça vaut tellement le détour (en aimant le piano et le jazz, c'est encore plus mieux) que je vous promets de faire l'effort de ne pas vous perdre quand vous reviendrez ici. Pas trop.

Voyez, une ligne a même été sautée (oh !) afin que vous vous y retrouviez plus facilement à votre retour. On vous ménage tellement que c'en est presque affligeant (presque, c'est là toute la subtilité de la chose). Mais si : une ligne est suffisante, c'est évident.
Nous en étions donc à l'expérience pratique de l'inutile au moment j'ai eu cette idée subite qui incluait Mirabassi, un piano et dix doigts (les trois ensemble créant une sacrée bon Dieu (suis monothéiste en ce moment) d'atmosphère (et je ne parle pas d'Arletty*) qui transporte l'esprit loin) (et là, je pars du principe que vous avez vu la vidéo, et que vous aimez le piano et le jazz) (si tel n'est pas le cas, rassurez-vous, vous aurez droit à votre article quand même). Par conséquent il apparaîtrait logique à tout esprit rationnel de repartir de cet endroit exactement. Chance, il me reste une dose de rationnel, que je consomme volontiers afin de reprendre le cours normal de cet article. Donc :


L'art de l'inutile, deuxième.

Étant donné que la machine dissertative montre aujourd'hui des signes évidents de mauvaise volonté, pratiquons. Ce que vous êtes sur le point de découvrir (z'êtes curieux, hein ?) est un échantillon de pages web prélevées dans le grand océan de l'Inutile. Autant de petits riens qui font oublier que le temps passe. Être hors du temps, c'est toujours génial, d'où leur existence.
Et, grande première dans l'histoire millénaire (ou peu s'en faut) de ce blog, je vais dire quelque chose de purement sérieux et qui vient du profond fond du cœur : l'indigestion d'inutile, c'est désagréable. Si vous vous tapez tous les liens à la suite, vous risquez d'en pâtir en ne les savourant pas tous à leur juste valeur. Enfin moi j'dis ça, si ça s'trouve vous pouvez encaisser…
Par définition la plupart de ces liens appartiennent au domaine insondable autant que mystérieux de l'inclassable, je ne me suis donc pas hasardé à tenter d'y mettre de l'ordre (et puis le chaos, c'est tellement plus drôle). Et ce d'autant plus que je me suis efforcé d'y ajouter de la variété autant que faire se peut (rhooo c'te formulation archaïque au possible, j'ayme).


Le premier-né de ces petits êtres bleutés (oui, j'ai transféré ici un blog où les liens étaient bleus (et où les pumas se nourrissaient de sel de table)) soulignés sera celui-ci. Pour commencer en douceur, vous comprenez. Et puis, ça vous permettra de vous y retrouver.

Le second-né de ces petits êtres bleutés (oui, j'ai transféré ici un blog où les liens étaient bleus (et où les pumas se nourrissaient de sel de table)) soulignés sera celui-ci. Ne vous fiez pas à la forme de la phrase, il possède (hormis la couleur) assez peu de points communs avec le premier. On pourrait assez facilement embrasser son essence en un seul mot : nostalgeek.

Quant à lui, eh bien… je vous laisse le soin d'en ressentir les effets. Simple information : le record actuel est de 22 223.0, à la loyale (le son seulement, précisons).

Mendeleïev remasterisé, ça mérite bien un coup d'œil.

Un spécimen intéressant de l'espèce des chronophages en puissance. Redoutable.

Vous avez remarqué que les présentations de liens deviennent vraiment courtes ? On pourrait un peu rapidement taxer ce phénomène de « manifestation évidente d'une flemmardise latente », mais vous n'êtes pas du genre à, n'est-ce pas ? Et puis on empiète sur l'emplacement du prochain lien. D'autant plus que c'est une vidéo : ce format ne pouvait pas décemment manquer à l'appel. Voici donc.

On approche de la fin (eh oui…). Mais trève de constatations sans intérêt : , c'est le lien suivant, en quelque sorte l'expression subjacente (ce mot existe-t-il ? point ne crois-je bien que non pas) de l'inutilité à l'état pur et parfait. Au moins il y a des couleurs.

Celui-là est… comment dire… En tout cas, il l'est très fort.

Nous voilà déjà rendus au dernier. Pour l'occasion, j'ai ai choisi un susceptible de tenir la durée sans flancher. Enjoy ! comme qui dirait, s'il ne dormait pas dans la penderie.



* Arletty, atmosphère… Hmmm… Ah, j'ai trouvé !

16 commentaires:

  1. Te voilà réduit à commenter ton propre blog pour en étudier l'affichage. Triste vie, non ?

    RépondreSupprimer
  2. En plus, tu as perdu tous les si beaux commentaires de Super Brocoli, Révoltée et Aaren. Et puis surtout ceux de ton commentateur schizophrène. Tu commençais à t'y attacher, n'est-ce pas ? Tu espères qu'il reviendra, je te connais depuis le temps…

    RépondreSupprimer
  3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
  4. Voilà que tu t'autocensures maintenant. Pauvre de toi…
    Allez, cesse donc de spammer les commentaires et laisse au moins cet espace vierge de tes méfaits ; sois raisonnable…

    RépondreSupprimer
  5. Je commenterai mardi. Je ne suis pas assez folle pour commenter ce qu'éructe un macchabée. Si ?

    RépondreSupprimer
  6. (Question : Comment supprimer mon commentaire doublé stupidement ? Ca me perturbe.)

    RépondreSupprimer
  7. C'est pas possible :P

    Bah alors c'est la pause ? On veut nos articles ! ^_^

    RépondreSupprimer
  8. Au fait c'est étrange, j'ai l'impression que les paroles du poireau qui tourne changent à partir de 25 000 secondes ... "A Paris, pas d' tas, Paris Paris Paris la tête dans l'eau. ... Et yen a beaucoup des calembours, mais pas beaucoup de canigou ..."

    RépondreSupprimer
  9. Tu es ignoble. Il faut que tu fasses un screen, hein =]

    (Non, ça n'est pas possible de supprimer ton double commentaire, et de plus tu étais reconnaissable dès la première syllabe.)

    Et sinon, oui c'est la pause, article suivant attestant que.

    RépondreSupprimer
  10. Super Brocoli1 mai 2010 à 14:44

    Tu va rire : firefox a planté ... Et évidement j'avais pas fait de screens avant.

    Le pire c'est que je l'avais commencé le matin et que je l'avais laissé allumé toute la journée alors que j'étais à coté, un vrai record quoi. Mais bon au bout d'un moment tu l'entends plus, c'est un bruit de fond :p

    RépondreSupprimer
  11. Super Brocoli1 mai 2010 à 15:32

    Et puis bonne fête à tout les travail !
    (c'était pour pas laisser 13 commentaires, ca porte malheur)

    RépondreSupprimer
  12. (Pourtant j'aurais juré que mon anonymat le serait véritablement. What a pity.)

    RépondreSupprimer
  13. ben moi j'aime bien les longues, grandes , peut-etre terminables mais on s'en fout, phrases, vivantes et rebondissantes , héhé, tout n'est pas perdu... une ptite ode au point virgule serait à tes quates.

    RépondreSupprimer