vendredi 10 décembre 2010

Lord Byronch Franz Janiszt et son piano magique

Il est temps de ressortir un peu de pianisme de derrière les fagots-de-la-grange-de-mamie-il-fait-froid-dehors-mange-ton-chien (les trois qui ont soupiré, là : cent lignes).

Bon, ce que c'est, concrètement, c'est :
- un mélange de Johann Sebastian Bach, de Franz Liszt, et de Byron Janis
- difficile à trouver (donc il faut me remercier, bande de baveux)
- beau
- Stéphane

Héééé ouais, vous avez raison : j'aurais quand même pu mettre l'article tout entier sur la page d'accueil, vu la longueur. Mais : phoutrejeanjacques.

Oh et puis merde, la flemme de dire pourquoi c'est un mélange de ces trois individus, ou même ce que c'est, ou pourquoi le soleil est bleu ; on s'en branle de tout ça. Si vous avez des questions, z'avez qu'à commenter, ala (je suis de mauvaise humeur littéraire, tiens ; étrange). Et puis voilà la chose, parce que les intros de soixante-douze lignes, ça puent :

Prélude :


Fugue :

6 commentaires:

  1. je pointe du doigt, mais je crois me tromper. Donc corrige moi si c'est faux : "ça puent" -> "ça pue". Parce que même si ce sont les introductions, ça est invariable, non ? Enfin, ce n'est pas grave.

    Sinon, je crois que je vais ouvrir mes horizons musicaux et quitter mon antre-violoncelle-trio-à-cordes pour observer de loin le piano. C'est vraiment beau. Surtout la fugue. Mais de toute façons, j'ai toujours aimé les fugues.

    Commentaire un peu tourné sur le "je" et désagréable, non ?

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  2. Sans la question finale, il n'y en aurait eu que 5, des jeux (facilité). Le sixième change tout.
    Mais, réponse : non.

    « Ça » est effectivement invariable. Mais il existe une dimension où « puent » est invariable également. Étrangeté de certains plans de réalité…

    Hamay, je ne peux que deepement t'encourager à approcher la pianisation de la vie, avec autant de prudence que tu le juges nécessaire pour ne pas prendre peur.
    Puis c'est toujours sympa de défoncer une porte ouvrant sur de nouveaux horizons (pardon : crocheter délicatement).

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  3. Défoncer la porte aussi, c'est drôle. Un peu à la manière L4D. Ou... Comme une partie de CoD qui se finit mal, comme du Halo qui tourne au pugilat. Ou quand, dans ce même jeu, ou s'arme d'une hache servant de batte et d'un bazooka de balle, et go baseball. La violence, le brutal, c'est drôle. Uniquement lorsque c'est irréel. Quand la violence passe la barrière de l'imaginaire pour arriver dans la réalité, et qu'elle piétine tout sur son passage, ce n'est plus drôle. La violence imaginaire est drôle tant qu'on en rit. Sinon, c'est le néant.

    Ah. Bon, fini les digressions. Juste une unique question : je commence par où ? En dehors du refuge, le monde est sauvage. Et tellement grand. Je ne sais pas par où commencer.

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  4. +1 pour les citations.
    La question de la violence, je passe.

    Commencer par Chopin est assurément une manière efficace de ne pas prendre de risques tout en prenant son pied. Les valses, peut-être… Puis la première ballade et les nocturnes. Et après, ben la suite.

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  5. (Et si tu veux allier les deux, cordes et piano en même temps, te conseille vivement Fauré. Avec Tortelier au violoncelle c'est divin. Et accessible.)

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  6. Véridique ? J'y vole de ce pas.

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