lundi 27 décembre 2010

La musique adoucit les mœurs v2

Et je le prouve (analogie : « j'annonce un Grand Chelem » ; faut être sûr de soi et fêlé pour dire des trucs pareils, non mais franchement).

NB à l'attention des connaisseurs de la v1 : C'est une véritable v2, je veux dire, avec du nouveau texte, toutes ces sortes de choses.

Je le prouve, donc, à l'aide, comme d'habitude, d'un bon vieux (surtout bon, surtout vieux) morceau de musique dixneuvièmiste pour lequel, encore une fois, je ne ferai aucun effort (atchoum) de présentation, parce qu'il est trois heures de l'après-midi et que tout est gros dans le monde, y compris un tas de sable.

Je ne ferai aucun effort de présentation, mais notez tout de même que j'ai le loisir tout entier d'ineptiser en toute quiétude étant donné que je ne crains ni le, ni la. À n'en pas douter c'est ce que je ferais si j'étais de mauvaise humar, simplement dans le but de satisfaire une pulsion cassecouilliste impromptuement inopportune.

Partant de ce principe de l'inutilité déblatéro-scripturale en puissance, on pourra voir qu'en fait, nulle prédiction de ce genre n'aura le loisir de se réaliser. L'explication est simple : elles seront coupées très court, les prédictions de ce genre.

(Tout de même, ce qu'il ne faut pas faire pour éviter que l'article tout entier ne soit pas plus conséquent que sa présentation sur la page d'accueil. On en arrive même à constater l'ineptie de ses propres paroles, simplement parce qu'on lorgne avec un œil gras sur la place remplissante que va occuper cette constatation.)

Et vu qu'il s'agit une vraie authentique certifiée v2, je peux même rajouter encore plus de nepties. À savoir : aucun rapport entre cette republication (sans accent, j'insiste) et le premier commentaire, ce qui eût été ridicule (d'ailleurs, surprenant commentateur, tu es tout à fait libre de t'exprimer à nouveau, si si).
Simplement ce qu'on appelle un cas de force majeure. Des mécanismes obscurs de l'Internet, du genre de ceux qui devraient rester à jamais inconnus du genre humain.

Sans plus tarder (mine de rien - gisement épuisé -, on parle, on parle, et on finit par tarder), la chose (non-marécageuse, cette fois) dont il est question depuis qu'il en est question, et même depuis avant qu'il en ait été avait être a soit eüt étal chemin de terre poil question :


William Brattapuël : Concerto pour violon n°2 en La mineur

2. Moderato Cantabile




(Lala.)

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